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41 entraineurs passés par la Ligue 1 cette saison

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Tunisie-Tribune (41 entraineurs passés par la Ligue 1) – La Ligue 1 a enregistré au cours de cette saison le passage de pas moins de 41 entraineurs sur les bancs.

Avec une moyenne de trois entraineurs par club, ce chiffre est appelé à augmenter car il reste beaucoup de journées à disputer en phases de play-off et de play-out.

Phase de play-off : (15)
Club Africain (4) : Said Saibi, Ahmed Touihri et Mohamed Haj Ali, Jean Michel Cavalli, Mondher Kebaier
Espérance Sportive de Tunis (3) : Mouine Chaabani, Tarek Thabet, Miguel Cardoso
Etoile Sportive Sahel (3) : Ime Ben Younes, Ahmed Ajlani, Seif Ghezal
Union Sportive Monastirienne (2) : Mohamed Kouki, Lassaad Chebbi
Club Sportif Sfaxien (2) : Nabil Kouki, Karim Dalhoum
Stade Tunisien (1) : Hamadi Daou

Phase de play-out : (26)
AS Marsa (5) : Khaled Ben Yahia, Abdessatar Ben Moussa, Souhaib Zarrouk, Chaker Meftah, Souhaib Zarrouk
EGS Gafsa (4) : Chaker Meftah, Jihed Zarrouk, Sofiene Hidoussi, Skander Kasri
US Ben Guerdane (4) : Chiheb Ellili, Hakim Aoun, Ramzi Jarmoud, Mohamed Ali Maalej
ES Métlaoui (3) : Mohamed Ali Maalej, Taoufik Zaaboub, Kais Yaakoubi
US Tataouine (3) : Wajdi Bouazzi, Mohamed Ali Maalej, Sami Gafsi
Olympique de Béja (3) : Nabil Neghiz, Mourad Okbi, Imed Ben Younes
AS Soliman (2) : Mohamed Ayari, Anis Boujelbene
Club Athlétique Bizertin (2) : Ratko Dostanic, Maher Kanzari

Évolutions météorologiques la dernière semaine de mars

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Tunisie-Tribune (Évolutions météorologiques) – La situation météorologique reste stable durant les deux prochains jours avant de connaître des changements à la fin de la semaine, selon la déclaration de l’ingénieur de l’Institut national de la météorologie, Abderrazak Rahal, lors d’une intervention téléphonique dans l’émission « Romdhane Ennes ».

Selon les prévisions, les températures seront en légère baisse pour se situer entre 18 et 24 degrés dans les régions du Nord et du Sahel, et devraient atteindre 23 degrés dans le Grand-Tunis.

Les températures dans les autres régions varient entre 26 et 32 degrés, soit une augmentation d’environ 6 degrés par rapport à la moyenne normale pour cette période.

Abderrazak Rahal  a expliqué que cette stabilité dans les conditions météorologiques est temporaire et que des changements sont prévus au cours des six derniers jours du mois de mars, avec possibilité de pluies.

Aéroport Tunis-Carthage: Saisie de 2.2 kilogrammes de drogue

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Tunisie-Tribune (Saisie de 2.2 kilogrammes de drogue) – Le colonel Chokri Jabri, porte-parole de la Douane tunisienne a déclaré ce mardi 19 mars 2024, qu’un passager en provenance d’un pays arabe a été interpellé à l’aéroport international Tunis-Carthage, hier lundi, en possession de 2.2 kilogrammes de drogue, dissimulées dans sa valise.

Il a précisé que des analyses seront effectuées pour connaître le type de matière blanche découverte dans la doublure de la valise.

D’un autre côté, Chokri Jabri a indiqué que les méthodes d’introduction et de trafic de drogue sont variées et les criminels ne semblent pas vouloir apprendre leur leçon, malgré les contrôles intensifiés et les efforts des différents corps de l’institution sécuritaire.

Un désastre écologique silencieux : les particules de frein des voitures

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Tunisie-Tribune (désastre écologique silencieux) – La pollution atmosphérique issue des véhicules est un sujet de préoccupation majeure pour la santé publique et l’environnement. Depuis le début du XXᵉ siècle, l’attention s’est plutôt concentrée sur les émissions toxiques des moteurs à combustion. À partir des années 1970, des réglementations environnementales plus strictes ont vu le jour dans de nombreux pays (Europe et États-Unis notamment). Les années 1980 ont marqué le début de l’émergence de technologies de contrôle des émissions des véhicules automobiles plus avancées. Le point d’orgue de cette prise de conscience généralisée étant sûrement le diesel gate en 2009.

À partir des années 2020, une autre prise de conscience a lieu : celle de la pollution produite par les freins des voitures. Comme l’avait titré l’ADEME dans cet article : « Plus de la moitié des particules fines émises par les véhicules routiers récents ne proviennent plus de l’échappement ». Les particules émises lors du freinage seraient donc un nouvel ennemi de l’environnement. Une nouvelle étude parue le 11 mars dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences vient rajouter de l’eau au moulin.

La charge électrique des particules : une découverte surprenante

L’étude a été menée par Adam Thomas, doctorant sous la direction de Jim Smith, professeur de chimie, et Paulus Bauer, chercheur postdoctoral à l’Université de Californie à Irvine. Cette recherche a mis en évidence un aspect encore inconnu de ces particules issues du freinage : 80 % de celles-ci sont électriquement chargées.

Lorsque les plaquettes de frein font pression contre le disque pour ralentir le véhicule, ce processus de friction émet des particules et de la chaleur. Ce qu’on ignorait en revanche, c’est que ce processus de friction peut ioniser les particules, c’est-à-dire leur donner une charge électrique.

Une propriété intéressante, qui pourrait être exploitée dans le but de réduire la pollution provoquée par ces particules. Il serait éventuellement possible d’utiliser des dispositifs comme des électrofiltres, qui génèrent un champ électrique pour capter les particules chargées. Cela empêcherait que celles-ci ne se dispersent et nuisent à la santé humaine ou à l’environnement.

Conséquences sanitaires et environnementales

Actuellement, les recherches sur la toxicité de ces particules n’en sont qu’à un stade préliminaire. Manabu Shiraiwa, professeur de chimie des aérosols à l’Université de Californie à Irvine, explique : « La toxicité et l’impact sanitaire des particules de freinage sont largement inconnus […] Les récentes recherches issues de mon laboratoire indiquent qu’elles pourraient induire un stress oxydatif, mais des recherches supplémentaires sont nécessaires ».

Le stress oxydatif, selon Futura Sciences « correspond à une agression des cellules par des radicaux libres » et peut entraîner des dommages cellulaires et contribuer à diverses maladies.

Autre aspect préoccupant : le rôle des voitures électriques dans cette pollution. Si elles ne produisent pas d’émissions lorsqu’elles fonctionnent, elles contribuent tout de même à émettre des particules lors du freinage. Bien qu’elles soient dotées d’un système de freinage régénératif qui soulage les disques et les plaquettes de frein, « elles émettent plus de particules provenant du contact pneu-chaussée et de la remise en suspension, du fait de la plus grande taille de leur pneumatique due à leur masse plus importante » explique l’ADEME.

Quelles solutions pour réduire les émissions invisibles ?

Si l’on prouve un jour que ces particules sont réellement toxiques, nous savons déjà que les risques pour la santé publique posés par les émissions de freinage n’est pas uniformément réparti au sein de la population. Les communautés à plus faibles revenus, en tout cas aux États-Unis, sont souvent bien plus exposés à un trafic dense. Déjà vulnérabilisées par les émissions des échappements, la peine serait double pour elles.

Pour Barbara Finlayson-Pitts, professeure émérite de chimie à l’Université de Californie à Irvine, caractériser ces émissions est capital. Elle détaille : « Ces zones se trouvent généralement dans des quartiers défavorisés et mettent en évidence un aspect crucial de la justice environnementale qui a souvent été ignoré ». Les plus modestes trinqueront davantage que les autres, rien de nouveau sous le soleil, malheureusement.

L’équipe en charge de ces recherches est sortie hors des murs des laboratoires pour s’engager directement auprès des populations habitant dans ces zones sensibles. Un partenariat a été établi avec l’Association de quartier Madison Park à Santa Ana (Californie) afin de sensibiliser et d’éduquer le public sur les dangers des particules de frein. Une démarche résolument sociale, qui aidera peut-être un jour les populations à militer pour demander des changements dans les politiques publiques s’il y a besoin.

Pour l’instant, il n’existe donc aucune solution miracle, et les recherches doivent s’accélérer pour mieux comprendre l’enjeu sanitaire que représentent ces particules. Cette facette de la pollution automobile ne doit plus être ignorée, et disposer de données plus précises est nécessaire pour passer à l’action.

  • Une nouvelle étude américaine a mis en lumière que 80 % des particules émises par le freinage des voitures sont chargées électriquement.
  • Une propriété qui pourrait jouer en notre faveur en permettant éventuellement de capter ces particules grâce à des dispositifs spécifiques avant leur émission.
  • Pour le moment, nous manquons de données pour comprendre réellement l’impact écologique et sanitaire de ces particules.

Le poste frontalier de Ras-Jdir fermé, suite à des tensions côté libyen

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Tunisie-Tribune (poste frontalier de Ras-Jdir) – Le poste frontalier de Ras Jdir a été fermé des côtés tunisien et libyen.

Le point de passage frontalier de Ras Jdir a été fermé, côté tunisien, hier soir lundi, et ce à cause de l’échange de coups de feu au niveau de la partie libyenne, en préservation de la sécurité des citoyens en direction des territoires libyens, rapporte Jawhara, citant son correspondant sur les lieux.

Seuls les Tunisiens bloqués en Libye, et les ambulances libyennes ont le droit d’entrer en Tunisie, rapporte Mosaïque.

Le ministère de l’Intérieur du gouvernement d’union nationale libyen avait annoncé dans la nuit du lundi à mardi, la fermeture du point de passage frontalier de Ras Jdir, sur fond de tensions sécuritaires dont il était le théâtre.

Dans un communiqué paru dans la nuit, le ministère de l’Intérieur libyen a révélé que « des groupes hors la loi, ont pris d’assaut le point de passage, et ce pour semer le chaos, et perturber le travail, du fait de l’interdiction des dépassements survenus ».

Ces instructions ont été prises pour mettre en place les procédures sécuritaires, en vue de la reprise du travail du poste frontalier, ajoute le communiqué.

Le ministère a, encore, affirmé « ne pas tolérer le chaos au niveau du passage frontalier ; celui-ci devra être sous l’autorité et la légalité de l’Etat ».

Le ministère a promis « de ne pas garder le silence sur ces actes commis par des groupes hors la loi, les mesures légales et les sanctions les plus dures seront prises contre les personnes impliquées ».

Les appareils sécuritaires chargés de sécuriser le point de passage avaient pour mission d’interdire la contrebande, de lutter contre le crime et les dépassements sécuritaires survenus, afin de fluidifier le travail, d’éliminer les entraves, et de mettre un terme à la souffrance des passagers, étant un passage frontalier vital pour l’ensemble des Libyens, conclut-il.

Gaming : Princess Peach Showtime!… on vous dit tout en avant-première

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Tunisie-Tribune (Princess Peach Showtime) – En attendant le test complet, on vous dit tout ce qu’il faut savoir concernant Princess Peach Showtime, un nouveau jeu vidéo à venir sur Nintendo Switch, mettant en vedette la princesse du Royaume Champignon.

C’est en 1985, au sein du tout premier Super Mario Bros sur Famicom/NES, que nait la célèbre princesse Peach. C’est Shigeru Miyamoto en personne qui en réalise les premières esquisses, mais c’est sous la plume de Yoichi Kotabe que la princesse est officiellement présentée pour la première fois avec une robe à manches longues, des gants longs, des cheveux blonds-rouges et une couronne de couleur unie. Depuis bientôt 40 ans, la princesse Peach est un personnage emblématique du jeu vidéo, et va avoir droit dans quelques jours à un nouveau jeu dédié.

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Le premier jeu mettant en vedette la Princesse Peach ? (non)

Après avoir crevé le grand écran au début de l’année dernière avec le film Super Mario Bros, la princesse Peach va être l’héroïne de son propre jeu vidéo en 2024 avec Princess Peach Showtime !. Et si vous pensez que ce jeu à venir est le premier à permettre aux joueurs d’incarner la célèbre princesse, détrompez-vous, car cela a déjà été le cas par le passé.

En effet, en 2005, Nintendo publiait Super Princess Peach, un jeu vidéo de plateforme exclusif à la Nintendo DS, lequel emmenait les joueurs sur l’île des Émotions, une île située non loin du Royaume Champignon. Mais ce dernier n’est (toujours) pas le premier jeu à mettre en scène la célèbre princesse, puisque ce mérite revient en réalité à Princess Toadstool’s Castle Run, dont la sortie remonte à 1990 sur… une petite montre LCD.

Quand sort Princess Peach Showtime! ?

C’est en septembre 2023, lors d’un Nintendo Direct, que le géant nippon officialise le développement d’un nouveau jeu vidéo emmené par la très appréciée princesse du royaume Champignon. Un jeu alors prévu pour 2024, sans davantage de précision.

Bonne nouvelle aujourd’hui, puisque Princess Peach Showtime! est attendu pour ce 22 mars 2024, soit dans quelques jours seulement. A noter qu’une démo jouable est disponible depuis le début du mois sur l’eShop de la Nintendo Switch.

Où jouer à Princess Peach Showtime! ?

Exclusivité Nintendo oblige, Princess Peach Showtime! est prévu sur une seule et unique plateforme de jeu : la Nintendo Switch. A ce propos, rappelons que la future console de Nintendo (la Nintendo Switch 2 ?) pourrait arriver en mars 2025.

Peu importe que vous disposiez d’un modèle classique, d’une petite Nintendo Switch Lite ou encore d’un modèle OLED, seule la console hybride de Nintendo est en mesure d’accueillir ce Princess Peach Showtime. Et n’espérez pas y jouer sur un émulateur comme Yuzu cette fois…

Princess Peach Showtime!, une édition collector ?

Contrairement à bon nombre d’éditeurs, Nintendo joue rarement la surenchère en ce qui concerne les éditions de ses exclusivités. Mis à part la saga Zelda, il est ainsi relativement rare pour le géant nippon de céder à l’appel des éditions multiples.

Pour ce qui est de Princess Peach Showtime!, le jeu sera disponible en version numérique et en version physique au prix de 59,99€. A noter que certains revendeurs proposent un “bonus” à l’achat du jeu, comme un pin’s ou encore un porte-clé, mais qu’il n’existe aucune version “collector”.

Princess Peach Showtime!, c’est quoi l’histoire ?

Dans ce nouveau jeu, une mystérieuse créature masquée a envahi le Théâtre de l’Étincelle, et la princesse Peach doit sauver les représentations pour sortir le théâtre de la catastrophe ! Pour ce faire, Peach est assistée par Stella, la scintillante gardienne du Théâtre de l’Étincelle, qui offre certains pouvoirs à la princesse, dont celui d’accéder à de nombreuses transformations.

L’objectif sera évidemment de se transformer et d’utiliser à bon escient de nombreuses capacités pour contrecarrer les plans de Syrah. On pourra ainsi devenir épéiste, détective, adepte du kung-fu, pâtissière, ninja, voleuse ou encore patineuse. Une boutique permettre également de personnaliser le look de la célèbre princesse.

Bref, une nouvelle aventure qui s’annonce très accessible et très “grand public”, et qui sera disponible à la fin de cette semaine (tout comme le test complet du jeu d’ailleurs). Juste le temps de finir à 100% le très bon Super Mario Bros Wonder finalement.