- La chloroquine (ancien traitement anti-paludique) expérimentée face au Covid-19 et amplement défendue par le Pr Didier Raoult.
- L’hydroxychloroquine, un dérivé de l’antipaludéen chloroquine, est préconisé par plusieurs écoles de médecine, dont le professeur Didier Raoult,en France… et contredit par beaucoup d’autres…
- Y-a-t-il un un lobby pharmaceutique derrière ?
- Le Maroc vient aussi d’autoriser, hier, l’utilisation de ce produit face au Coronavirus
- Notons aussi que la pharmacie Centrale de Tunisie avait annoncé, il y a 4 jours, détenir un stock important de ce produit
Tunisie-Tribune (hydroxychloroquine) – face à l’urgence de la situation et malgré le faible nombre d’essais cliniques effectués avec ce produit, protocole important dans le processus des AMM, un décret paru en France, ce jeudi 26 mars 2020, indique que l’hydroxychloroquine peut être prescrite, dispensée et administrée sous la responsabilité d’un médecin aux patients atteints par le Covid-19.
Cela doit se faire «dans les établissements de santé qui les prennent en charge, ainsi que, pour la poursuite de leur traitement si leur état le permet et sur autorisation du prescripteur initial, à domicile», précise le texte du communiqué.
Ces mesures s’appuient sur l’avis du Haut conseil de la santé publique (HSCP) publié, mardi 24 mars 2020, et ce, hors le protocole d’essai habituel.
Didier Raoult remercie Olivier Véran, le ministre de la Santé français, après la publication du décret autorisant la prescription de chloroquine
Le professeur Didier Raoult a remercié le ministre de la Santé Olivier Véran « pour son écoute », après la publication jeudi d’un décret encadrant la prescription « d’hydroxychloroquine », et l’autorisant en guise de « traitement du Covid-19 » pour les patients pris en charge à l’hôpital.
L’hydroxychloroquine, un dérivé de l’antipaludéen chloroquine, est préconisée par plusieurs médecins, dont le professeur Didier Raoult, directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection, pour traiter les patients atteints du coronavirus. Son utilisation divise néanmoins le monde médical, l’efficacité de cette molécule étant toujours en cours d’évaluation scientifique.