Tunisie-Tribune (Gaza)- Des écoles aux hôpitaux, en passant par les immeubles résidentiels et les tentes de déplacés, partout à Gaza, les frappes israéliennes s’abattent sur une population à bout de souffle. Près de deux ans après le début de la guerre, l’enclave n’est plus seulement un champ de ruines, c’est un territoire où la famine est devenue une arme.
Le bilan humain de l’été est vertigineux : depuis le 23 juillet, plus de 2.500 Palestiniens ont été tués par l’armée israélienne, dont 271 alors qu’ils tentaient de se procurer de l’aide, selon le ministère de la santé local.
Près de 250 journalistes palestiniens ont péri depuis le début du conflit, dont cinq le 25 août dernier, lors d’une double frappe sur l’hôpital Nasser, à Khan Younès, l’un des derniers encore en activité dans le sud de Gaza.



























































