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ARP: Des représentants de la présidence du gouvernement auditionnés

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Tunisie-Tribune (représentants de la présidence du gouvernement auditionnés) – Des représentants de la présidence du gouvernement seront auditionnés à l’Assemblée des représentants du peuple, au cours de la semaine prochaine, devant la Commission de l’organisation et du développement de l’administration, de la digitalisation, de la gouvernance et de la lutte contre la corruption.

Cette audition aura lieu, après l’examen de deux propositions d’amendement, à savoir celle de la loi 112 de 1983, amendant et complétant la loi portant statut général des personnels de l’Etat, des collectivités locales et des établissements publics à caractère administratif et celle de la loi relative aux congés de maternité, de paternité et de parentalité dans les secteurs, public et privé.

Kaspersky rapporte une augmentation des violences numériques à l’échelle internationale

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Tunisie-Tribune (Kaspersky ) – Le dernier rapport Kaspersky State of Stalkerware 2023 révèle que près de 31 000 détenteurs de téléphones mobiles dans le monde ont été victimes de stalkerwares, ces logiciels de surveillance illicite employés par les agresseurs dans le cadre des violences domestiques pour surveiller leurs victimes. Mais le phénomène du stalking ne se limite malheureusement pas aux stalkerwares : en France, 34 % des personnes interrogées ont déclaré avoir été victimes de harcèlement, ou le soupçonnent.

Les stalkerwares se font généralement passer pour des applications légitimes d’antivol ou de contrôle parental sur les smartphones, les tablettes et les ordinateurs, mais la vérité est tout autre. Ils s’installent sur un appareil sans nécessiter le consentement de la personne suivie ni même la notifier, et donnent à l’auteur du délit les moyens de prendre le contrôle sur la vie de la victime. Les capacités de ces stalkerwares varient en fonction de l’application.

The State of Stalkerware est un rapport annuel de Kaspersky qui vise à évaluer le nombre de victimes de harcèlement numérique à l’échelle globale afin d’appréhender le phénomène au mieux. En 2023, les données de Kaspersky révèlent que 31 031 personnes dans le monde ont été touchées par des logiciels de harcèlement, soit une augmentation de près de 6 % d’une année sur l’autre par rapport aux 29 312 utilisateurs touchés en 2022. Ces chiffres inversent la tendance à la baisse observée en 2021 et confirment que le harcèlement numérique reste un fléau bien actuel.

Selon le Kaspersky Security Network, 2023, ce sont les utilisateurs russes, brésiliens et indiens qui sont le plus concernés par le phénomène, mais la France se classe seconde en Europe, derrière l’Allemagne et juste devant le Royaume-Uni, l’Espagne et l’Italie.

Harcèlement et violences, sur internet et ailleurs

Le spectre des abus est varié, plus d’un tiers (38 %) des personnes interrogées en France faisant état d’expériences de violence ou d’abus de la part d’un partenaire actuel ou antérieur. 16 % des répondants français ont révélé avoir été victimes d’une forme de harcèlement en ligne de la part d’une personne qu’elles ont récemment fréquentée. Plus généralement, 35 % d’entre eux ont déclaré avoir été victimes de harcèlement ou soupçonner d’avoir été harcelés.

Par ailleurs, 14 % ont admis avoir installé ou paramétré le téléphone de leur partenaire, tandis que 11 % ont reconnu avoir fait pression sur leur partenaire pour qu’il installe des applications de surveillance. Néanmoins, l’idée de surveiller un partenaire à son insu est désapprouvée par la majorité des individus (54 %), ce qui reflète un sentiment dominant à l’encontre de ce type de comportement. En ce qui concerne les attitudes à l’égard de la surveillance consensuelle des activités en ligne d’un partenaire, 44 % des répondants français expriment leur désapprobation, soulignant l’importance du droit à la vie privée. À l’inverse, ils sont 23 % à s’exprimer en faveur d’une transparence totale dans les relations et considèrent qu’une surveillance consensuelle est acceptable et indiquée, tandis que 16 % la jugent acceptable uniquement en cas d’accord mutuel.

« Ces résultats mettent en évidence l’équilibre délicat que les individus trouvent entre intimité et vie privée. Si l’on peut se réjouir d’observer des comportements de plus en plus prudents en ce qui concerne les données sensibles, la pratique du partage de mots de passe des services de streaming et les photos témoigne d’un changement culturel et comporte des risques potentiels, même si cela peut paraître a priori inoffensif. Ces observations soulignent l’importance de favoriser une communication ouverte dans les relations et d’établir des limites claires pour des usages numériques sains. », observe David Emm, expert en sécurité et en confidentialité des données chez Kaspersky.

La lutte contre les stalkerwares nécessite des partenariats

Dans la plupart des pays du monde, l’utilisation de logiciels de surveillance n’est pas interdite, mais l’installation de telle application sur le smartphone d’une personne tierce sans son consentement est illégale et punissable. Toutefois, c’est l’auteur de l’infraction qui sera tenu pour responsable, et non le développeur de l’application. Logiciels de harcèlement et technologies connexes sont des outils de la violence technologique, et sont souvent utilisés dans les relations abusives.

Les stalkerwares sont l’expression d’un problème qui nécessite une action de la part de tous les secteurs de la société. Kaspersky s’engage non seulement activement à protéger les utilisateurs contre cette menace, mais aussi à maintenir un dialogue à plusieurs niveaux avec des organisations à but non lucratif et des organismes du secteur privé, public et de la recherche dans le monde entier afin de travailler ensemble sur des solutions pour s’emparer du problème.

En 2019, Kaspersky a été la première entreprise de cybersécurité à développer une fonctionnalité permettant de notifier clairement les utilisateurs si un stalkerware est détecté sur leur appareil. Alors que les solutions de Kaspersky signalent depuis de nombreuses années les applications potentiellement nuisibles qui ne sont pas des logiciels malveillants pour autant, dont font partie les stalkerwares, cette nouvelle fonctionnalité de notifications alerte l’utilisateur sur le fait qu’une application a été trouvée sur son appareil et qu’elle pourrait être en mesure de l’espionner.

S’agissant d’un phénomène beaucoup plus large que la simple question des stalkerwares, Kaspersky collabore avec des experts et des organisations compétentes dans le domaine des violences domestiques, des services d’aide aux victimes aux instituts de recherche en passant par les agences gouvernementales, afin de mutualiser les connaissances et de soutenir les victimes et les professionnels engagés dans la lutte contre les violences domestiques.

En 2019, Kaspersky a également cofondé la Coalition Against Stalkerware, un groupe de travail international contre le stalkerware et la violence domestique qui rassemble des entreprises informatiques privées, des ONG, des institutions de recherche et des organismes d’application de la loi qui travaillent à la lutte contre le cyberharcèlement. Grâce à un consortium de plus de 40 organisations, les parties prenantes peuvent partager leur expertise et travailler ensemble pour résoudre le problème de la violence en ligne. De plus, le site web de la coalition, disponible en sept langues, offre aux victimes une aide et des conseils au cas où elles soupçonneraient la présence d’un logiciel de harcèlement sur leurs appareils.

Lisez le rapport complet sur les menaces de stalkerware en 2023 sur Securelist.

Accidents de la route: 12 morts en 24 heures…

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Tunisie-Tribune (Accidents de la route) – La Protection civile a annoncé, dans un communiqué publié ce mardi, que 12 personnes ont trouvé la mort et que 284 autres ont été blessées dans des accidents de la route qui se sont produits au cours des 24 dernières heures.

Elle a souligné que des différentes unités ont effectué 321 interventions, dont 34 extinctions d’incendies et 107 secours routiers.

Gaza : 31.819 personnes tuées depuis le début de la guerre

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Tunisie-Tribune (Gaza ) – Le ministère palestinien de la Santé a annoncé, ce mardi, un nouveau bilan de 31.819 personnes tuées dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre menée par l’Etat sioniste.

Parmi elles, 93 ont été tuées au cours des dernières 24 heures, a précisé le ministère dans un communiqué, faisant état d’un total de 73.934 blessés depuis le début de la guerre le 7 octobre.

41 entraineurs passés par la Ligue 1 cette saison

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Tunisie-Tribune (41 entraineurs passés par la Ligue 1) – La Ligue 1 a enregistré au cours de cette saison le passage de pas moins de 41 entraineurs sur les bancs.

Avec une moyenne de trois entraineurs par club, ce chiffre est appelé à augmenter car il reste beaucoup de journées à disputer en phases de play-off et de play-out.

Phase de play-off : (15)
Club Africain (4) : Said Saibi, Ahmed Touihri et Mohamed Haj Ali, Jean Michel Cavalli, Mondher Kebaier
Espérance Sportive de Tunis (3) : Mouine Chaabani, Tarek Thabet, Miguel Cardoso
Etoile Sportive Sahel (3) : Ime Ben Younes, Ahmed Ajlani, Seif Ghezal
Union Sportive Monastirienne (2) : Mohamed Kouki, Lassaad Chebbi
Club Sportif Sfaxien (2) : Nabil Kouki, Karim Dalhoum
Stade Tunisien (1) : Hamadi Daou

Phase de play-out : (26)
AS Marsa (5) : Khaled Ben Yahia, Abdessatar Ben Moussa, Souhaib Zarrouk, Chaker Meftah, Souhaib Zarrouk
EGS Gafsa (4) : Chaker Meftah, Jihed Zarrouk, Sofiene Hidoussi, Skander Kasri
US Ben Guerdane (4) : Chiheb Ellili, Hakim Aoun, Ramzi Jarmoud, Mohamed Ali Maalej
ES Métlaoui (3) : Mohamed Ali Maalej, Taoufik Zaaboub, Kais Yaakoubi
US Tataouine (3) : Wajdi Bouazzi, Mohamed Ali Maalej, Sami Gafsi
Olympique de Béja (3) : Nabil Neghiz, Mourad Okbi, Imed Ben Younes
AS Soliman (2) : Mohamed Ayari, Anis Boujelbene
Club Athlétique Bizertin (2) : Ratko Dostanic, Maher Kanzari

Évolutions météorologiques la dernière semaine de mars

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Tunisie-Tribune (Évolutions météorologiques) – La situation météorologique reste stable durant les deux prochains jours avant de connaître des changements à la fin de la semaine, selon la déclaration de l’ingénieur de l’Institut national de la météorologie, Abderrazak Rahal, lors d’une intervention téléphonique dans l’émission « Romdhane Ennes ».

Selon les prévisions, les températures seront en légère baisse pour se situer entre 18 et 24 degrés dans les régions du Nord et du Sahel, et devraient atteindre 23 degrés dans le Grand-Tunis.

Les températures dans les autres régions varient entre 26 et 32 degrés, soit une augmentation d’environ 6 degrés par rapport à la moyenne normale pour cette période.

Abderrazak Rahal  a expliqué que cette stabilité dans les conditions météorologiques est temporaire et que des changements sont prévus au cours des six derniers jours du mois de mars, avec possibilité de pluies.