Tunisie Tribune (Marzouki et Chahed)- La chambre correctionnelle du Tribunal de première instance de Tunis a décidé, mardi 1er mars 2022, d’infliger des amendes à un certain nombre de candidats à l’élection présidentielle de 2019, pour des délits électoraux.
Une source judiciaire a confié à Business News que le chef du parti Tahya Tounes, et l’ancien président de l’UPL, Slim Riahi ont écopé d’une amende de quarante mille dinars. Le candidat Hichem Hamdi a été condamné à trente mille dinars d’amende, Mehdi Jomâa à vingt mille dinars, Moncef Marzouki à dix mille dinars et Hamadi Jebali à cinq mille dinars.
Les faits reprochés concernent des financements étrangers et la violation du silence électoral.