Tunisie Tribune (accusations contre les députés)- ” Les accusations portées à l’encontre des députés sont passibles de la peine de mort », a indiqué l’ancien bâtonnier des avocats Abderrazek Kilani.
Et de souligner qu’ « après la dissolution du Parlement, le pays est devenu sans institutions”, dénonçant la comparution des civils, des députés, des journalistes et des activistes devant les tribunaux militaires.
Kilani a rappelé que 7 députés ont été convoqués vendredi dernier par les forces sécuritaires pour leur participation à une séance plénière consacrée à l’annulation des mesures exceptionnelles et ce, conformément à leurs prérogatives garanties par la loi.